Presse / Bobby Fischer vit à Pasadena

Le 23 mars 2002

René Solis

Les gens bien peuvent aussi faire mal

À l’intention des amateurs d’échecs, une précision en ouverture : Bobby Fischer vit à Pasadena n’est pas une pièce sur le mythique champion américain des années 70. Son nom n’apparaît qu’au détour d’une réplique de Tomas le psychotique, le seul à savoir qui est Bobby Fischer…

Mars 2002

Didier Méreuze

Famille, je vous hais !

D’abord, il y a le père qui ne dit rien. Et puis la mère qui parle tout le temps. Ensuite, il y a le fils, autiste. Enfin la fille, qui boit. Rassemblés comme dans une chanson de Brel, ce sont les personnages de «Bobby Fischer vit à Pasadena» du suédois Lars Noren. Mais leur monde n’est pas celui des petites gens…

Le 4 avril 2002

Jean-Pierre Bourcier

Partie d’échecs en famille

Quand Ils déboulent en tenue de soirée dans le salon de cet appartement bourgeois-intello, les quatre personnages de Bobby Fischer vit à Pasadena, pièce du suédois Lars Norén, reviennent du théâtre. En parlent. Avec excitation. Surtout la mère. Dans sa logorrhée mondaine, on comprend vite qu’elle en fut, de cette famille du théâtre…

Le 4 avril 2002

Hugues Letanneur

Bobby Fischer vit à Pasadena

Un quatuor familial explosif. Il y a le père, la mère et les deux enfants – un garçon et une fille. Sous les apparences tranquilles, un drame enfle, dont on ne décèle pas tout de suite la force dévastatrice. La mère parle, beaucoup. On sent que ses mots servent à masquer quelque chose…

Le 16 mars 2002

Monica Fantini

Profession spectateur

Bobby Fischer vit à Pasadena, en fait un titre écran, qui ne dévoile pas l’histoire ; et l’histoire, on va la découvrir petit à petit, puisqu’au début on voit une famille rentrer chez elle, après avoir vu une pièce de théâtre un peu trouble. On voit un père chef d’entreprise, une mère, une fille, un fils…